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  • : Ari Amy
  • : Description : Soyez le bienvenu ! Il y a dans les pages qui font ce blogue tout l'univers d'Ari Amy, ce milliardaire qui a fait fortune à vendre, ce qu'il aime appeler, du matériel stratégique. Il sera dévié de son parcours mouvementé par Claudi Robert, cette jeune beauté venue changer les règles du spectacle avec son idée du Jeu Mondial. À sa grande surprise, les entreprises du caïd vont se diversifier et suivront, tout comme sa libido endormie, une route manifestement imprévue.
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  • Robert Alair
  • Auteur de la trilogie, Le Princess Dream, vous trouverez sur Amazon mes publications.
  • Auteur de la trilogie, Le Princess Dream, vous trouverez sur Amazon mes publications.

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 22:09

Toute ressemblance avec des personnes ou des événements existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.

Vous êtes prié de ne pas faire de copie, ce texte est scellé sous droits d'auteur.

Vous êtes autorisé à revenir lire ces lignes à votre satisfaction complète et entière.

Vous êtes mineur, vous n'êtes pas bienvenu, ici.

 

Anthony devina que la mission de vengeance contre Ari Amy qu’ils avaient planifiée ensemble se soldait par un lamentable échec. Au lieu de voir le propriétaire du Princess Dream rouler dans les escaliers jusqu’à sa mort, c’est Carlos, troué de deux balles, qui faisait les frais de l’opération. La vie de son ami prenait une tournure tragique à moins qu’il intervienne au plus vite.

 

- Amigo ! Plaisanta Anthony en imitant Carlos. J’é une problème, là.

- Une problemo ?

- Si !

- Quel problemo ?

- Où as-tu planqué les sous exactement ?

- Hein ! Fit difficilement le Colombien à l’agonie. Quels sous ?

- L’argent qu’Ari a fait transporter à bord du Princess Dream, amigo.

- Mais ! S’exclama Carlos. J’é né pas les dinero ? C’est Ari qui l’a. Les sacs sont sur yacht.

 

Très calme, cette fois, monsieur Locas prit le temps de respirer à fond. Il consulta sa montre, évaluant ses chances de changer de cap, puis se ravisant il revint à son ami. Ce dernier râlait affreusement. Anthony savait pertinemment que les sacs à bord du yacht ne contenaient plus le butin en provenance des vols de banque, mais du papier journal habilement substitué par les soins de son grand ami, le mourant.

 

- Je te fais une proposition, avança-t-il. Tu me dis où se trouve l’argent et j’irai te secourir.

- Mais amigo ! Supplia Carlos. As-tu oublié que j’é té sauvé la vie à Margarita ?

 

Le Colombien jouait une belle carte, mais hélas, pour lui, son partenaire possédait tout le reste du jeu. Certes, cela s’avérait judicieux de rappeler qu’en effet, il accourut le rescaper dans des circonstances similaires. Hélas ! Recourir à la sensiblerie avec des gens qui n’ont pas de cœur n'est pas une stratégie gagnante.

 

- Non ! Répondit froidement Anthony. Moi, je t’ai dit où trouver la cachette d’Ariboudine pour te saisir du trésor, et toi, tu as changé les dollars pour du vulgaire papier journal, mon ami.

 

Un silence éloquent et lourd de conséquences pour Carlos suivit.

 

- J’é né comprends pas, amigo. Fit-il, feignant l’innocence.

- Moi non plus, amigo.

 

Placé devant ce dilemme, Carlos n’avait pas vraiment le choix. L’idée de voir Anthony jouir de la fortune dissimulée par ses soins lors du transport de Berne à Gênes le répugnait. Hélas ! Pour lui, la mort l’attendait à coup sûr et il le savait. La crainte de dévoiler l’endroit précis où se trouvaient les vrais sacs bourrés d’argent et celle de finir abandonner pour mourir le hantait plus que tout. Il n’avait pourtant aucune garantie qu’Anthony lui porte assistance ? Il dut pourtant s’y résigner.

 

- Très bien, amigo ! J’é té fais confiance, mais tu dois venir m’aider inmediatamente, car j’é perds mon sang.

- Je vais te secourir.

- Prends une crayon.

- C’est fait !

- 45 degrés 43 45.17 Nord et 9 degrés 01 35.93 Est.

- Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?

- C’est la position GPS, amigo.

- Ha ! Astucieux mon ami. C’est où ?

- En Italie, à 32 km au nord de Milano.

- Très bien ! Tiens bon, j’arrive.

 

 

 

Au bout de son sang, Carlos sombrait dans les bras de l’ex-intervieweuse qui se laissa choir sur le dos étalant son impressionnante chevelure écarlate à même les draps blancs. Il ne savait plus très bien s'il était à mourir dans cet escalier de malheur où si les bras de Claudi l'entouraient de sa douceur. Elle l'attira vers elle pour l'embrasser encore, mais il voulait prendre possession de la demoiselle. Il lui souleva le bassin pour ainsi se laisser glisser lentement en son antre. Elle échappa un murmure qui interpella l’homme jusqu’au fond de son âme. Bien qu'il soit probablement difficile d'évaluer le réel degré de conscience habitant le bonhomme à cet instant. Était-il vraiment complètement présent à ce jeu des corps ? S’appuyant très peu sur elle pour lui laisser tout le loisir de le sentir, il s'activa progressivement suivant les réactions de celle-ci. Elle pouvait apprécier chaque mouvement l'absorber et la plonger en extase devant le regard brulant de désir du Don Juan. Nul doute qu’il allait la conduire au paroxysme du plaisir sexuel. Sans autre avertissement, il l’empoigna et la retourna sur elle-même, comme si elle était aussi légère qu’une poupée. La voilà offerte à la concupiscence du caïd. Il la saisit en levrette, cette fois, redoublant sa félicité. Chaque coup devenait une semonce tandis que ses fesses rebondies recevaient une volée et que la jouissance montait d’un cran à chaque élan. Elle avait perdu conscience depuis ce moment. Il repoussa sa tête en direction du matelas pour jouir du spectacle. La ligne de son bassin configurait un cœur vu sous cet angle et  cette position imprimait au corps de la jeune demoiselle une escalade de soubresauts délicieux qu'elle ne comprenait pas. Elle se sentait comme une geisha soumise prête à se livrer aux moindres de ces désirs, pourvu que jamais cela ne cesse. Molle comme de la pâte à modeler, il la renversa sur le coté, lui retenant une jambe pour s’introduire de nouveau. Cette fois, elle n’y tenait plus, c’était trop bon. Lui aussi haletait comme un cheval en fin de course, y allant de son dernier grand trot, il s'enfonçait en elle, anticipant cette fin libératoire qui explosa contre toute attente. Il s’effondra à bout de souffle sur elle pour la couvrir de baisers.

    amant-main.jpg

 

Anthony raccrocha. Il songea que les chances qu’il parvienne au siège social de TFr7 à Paris et qu’il retrouve son Carlos vivant étaient bien mince. Il signifia tout de même à son pilote de changer de direction et de s’aligner sur la tour Eiffel. Un relent de conscience lui rappela que sans l’aide de ce dernier il ne serait pas là pour jouer au héros. Ce Carlos avait joué avec le feu toute sa vie. Qu’il se retrouve à l’article de la mort aussi jeune, témoignait de son mépris du danger et de sa désinvolture. Ne méritait-il pas ce qui arrivait ?

 

- Et puis, se dit Anthony. Rien n’assure qu’il ne se serait pas enfui avec le magot, maintenant qu’il l’avait en main. Tu te pensais malin, mais tu devrais savoir que je suis le plus fort !

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commentaires

C
<br /> TRES,TRES bonne nuit ,ARY<br />
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A
<br /> <br /> La nuit arrive chez vous. Ici il est 16.47 h. De quoi se taper un bon gueuleton avec beaucoup de vin blanc, de France évidemment.<br /> <br /> <br /> <br />
U
<br /> Ah oui! chouette! un nouveau pseudo: PCLF !!!!<br />
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A
<br /> <br /> PCLF : vas-y j'ai pas le temps de décortiquer ton mystère.<br /> <br /> <br /> <br />
U
<br /> La journée commence bien! Je suis écroulée!<br /> <br /> <br /> Nous comprenons parfaitement cette expression car nous l'utilisons aussi, figure toi! L'utilisation que j'en ai faite était juste une retour de joke !!!!!<br /> <br /> <br /> Ah!ah!ah!ah!ah!ah!ah!ah!ah!ah!ah!ah!!!!!!!!!<br />
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A
<br /> <br /> AH ! C'était un retour de blagues et vous connaissez l'expression... Alors tout le baratin qui a suivi, c'était pour rien. Merci encore. Je n'ai pas que ça à faire moi, vous instruire des<br /> expressions originales. Il se trouve que je suis écrivain et que je suis sérieux, alors vous allez faire résonner vos cloches ailleurs, je vous prie. Et puis je retire Bon WE. Pour vous Miss Up,<br /> ce sera affreux WE. <br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> CLOCHE<br /> <br /> <br /> Il faut que je revienne sur ce mot, car c'est très drôle. Je vous ai dit : j’aimerais avoir un autre son de cloche. Vous avez traduit par : je suis une cloche et je vais émettre mon<br /> commentaire. Dans mon patelin : un autre son de cloche veut dire que certaines personnes vont émettre un commentaire qui sera différent de celui des autres. VOYEZ-vous la différence ?<br /> <br /> <br /> Toutes mes excuses. Vous n'êtes pas des cloches... bien que maintenant que j'y pense...<br />
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A
<br /> Commentaire réponse pour Poppins, Up, Cotentine et Fanfan,<br /> <br /> <br /> Comme vous êtes touchantes toutes les quatre. Merci de vos beaux témoignages. Cette fois, je peux vous dire que j'ai très bien saisi ce dont il s'agit pour décrire une scène d'amour et c'est<br /> grâce au recoupement de tout ce que vous avez dit.<br /> <br /> <br /> Il y a un élément par contre que vous semblez avoir oublié et je ne peux pas vous en tenir rigueur, car lire ce long roman en petite pièce détachée, comme vous l'avez fait, fait perdre la<br /> perspective.<br /> <br /> <br /> Carlos est un truand, un Don Juan. Il n'aime pas Claudi, il veut coucher avec elle et passer à autre chose, mais il se fait un peu prendre à son propre jeu, ébloui par la beauté de celle-ci.<br /> <br /> <br /> Là où je me suis trompé en écrivant la Scène 2, c'est que la partie "hard" devait être assumée au complet par lui et j'ai donné à Claudi des gestes, qui n'appartenaient pas à elle. Voyez-vous la<br /> différence ?<br /> <br /> <br /> Je vais reprendre ce texte (another day) et vous verrez.<br /> <br /> <br /> Étonnant parfois ce qu'écrire peut soutenir comme résultat.<br /> <br /> <br /> Merci à vous. Je vous compte parmi mes rares amies. C'est toujours un plaisir renouvelé de vous lire.<br />
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F
<br /> @MISS UP bisous ma belle car des RV et els valises car demain c'est vacances à mon retour les filles<br />
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F
<br /> j'ai rattrapé mon retard de lecture... je ne sais trop que dire. Comme vous je pense qu'il est très difficile de décrire des scènes érotiques sans risquer de tomber dans le porno (pas chic) ou<br /> dans les clichés. Je pense qu'il faut que vous écriviez sans vous préoccuper des avis des uns et des autres (plutôt des unes semble-t-il). Le plaire à tout prix est impossible alors soyez<br /> vous-même. <br /> <br /> <br /> Ceci n'est qu'un humble avis.<br /> <br /> <br /> Bien amicalement.<br />
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A
<br /> <br /> Je dois vous donner raison, mais en l'occurrence j'avais besoin d'un de "cloche" et toutes les cloches ont résonné (raisonné). Ahhahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !<br /> <br /> <br /> Merci encore.<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> J'ai frémis à la réflexion de F B POPPINS ,au sujet de la photos des mains,c'est vrai quelle est belle cette photo,touty est dit ;tendresse ,amour et protection  ,merci ARI<br />
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A
<br /> <br /> La photo est sur le Net et je ne sais pas qui en est l'auteur.<br /> <br /> <br /> <br />
U
<br /> On SAIT pas, pas on "S'EST" pas... pfouuuu....<br />
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A
<br /> <br /> Sache-le que nous le sussions !<br /> <br /> <br /> <br />
U
<br /> @Poppins: T'es pas un peu malade de lui dire des trucs pareils! Si avec ça il prend pas la grosse tête! Déjà qu'on s'est pas<br /> comment s'en débarrasser... on a bien essayé avec un bloc de béton, mais le béton savait nager...<br />
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A
<br /> <br /> Pas de commentaire.<br /> <br /> <br /> <br />